Adulte surdoué : comment devenir un(e) adulte zèbre épanoui(e) ?

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Ecrit par Paul Dugué

Mis à jour le

Être un zèbre, c’est avoir un fonctionnement différent. Ainsi, devenir un adulte surdoué n’est pas toujours simple, et s’épanouir peut parfois devenir compliqué. Entre le flux de pensées incessant et l’hypersensibilité, se frayer un chemin dans la société n’est pas de tout repos.

Je ne prétends pas avoir trouvé toutes les réponses. À mon avis, chaque personne à haut potentiel intellectuelest différente. Voici seulement ma façon de penser et de voir la vie d’adulte. Elle pourra, je l’espère, vous aider à trouver vous aussi votre épanouissement personnel en tant qu’adulte zèbre.

Hypersensibilité bonheur

L’épanouissement personnel de l’adulte zèbre

Nous allons tout d’abord parler d’épanouissement personnel. Autrement dit, comment je peux m’aimer moi. Comment être heureux, avec « juste » moi. En lisant d’autres récits et retours d’expérience, je me suis rendu compte que beaucoup d’autres zèbre aiment être seuls. Et c’est également mon cas. Je suis bien, seul, dans ma tête. J’apprends, je crée, je découvre. En tout cas, je trouve ça bien plus sympa que les activités de mes amis du même âge.

À mon avis, le plus difficile réside dans l’acceptation de soi. Pour cela, commencer par prendre conscience de ce que la douance implique m’a fait beaucoup de bien. J’ai mis des mots sur des sensations que j’avais.

Nourrissez votre curiosité insatiable d’adulte surdoué

L’adulte surdoué est quelqu’un de très curieux. Il s’intéresse à tout, tout le temps. Pour satisfaire ce besoin, je vous conseille de vous donner continuellement quelque chose à apprendre. Il faut nourrir votre curiosité. Je lis beaucoup par exemple. Dès qu’un sujet m’intéresse ou que je me pose des questions, je cherche à approfondir le sujet pour le maîtriser. Et puis petit à petit je vais dériver et aboutir à un endroit où je ne me voyais pas au départ. Récemment, j’ai cherché à comprendre comment fonctionnait le marché immobilier (dans l’objectif d’y faire un investissement). En regardant rapidement ce qui était disponible sur internet, je suis vite tombé sur le livre Père Riche Père Pauvre de Robert Kiyosaki (il est formidable, vous devez absolument le lire !). Puis, j’ai lu les deux livres suivants pour approfondir encore sa notion d’intelligence financière. En parallèle, j’ai voulu m’intéresser aux marchés boursiers, me suis commandé plusieurs livres sur le sujet, et je continue aujourd’hui ma course en m’étant inscrit à un cours sur les crypto-monnaies.

Nourrissez sa curiosité

Le message que je veux faire passer, c’est qu’il est important de comprendre et d’accepter cette curiosité – et surtout de la nourrir ! Favorisez un documentaire plutôt qu’une fiction, ou allez au musée ! Imprégniez-vous du monde qui vous entoure. Je ne sais pas si je vais devenir le futur Warren Buffett. Par contre, je sais que depuis quelques semaines je m’éclate là-dedans. Et tout ça a commencé par une recherche de renseignements sur un investissement immobilier. D’ailleurs, ces renseignements sur l’immobilier devaient certainement venir d’un point précédent, mais je ne sais plus du tout comment j’en suis arrivé là.

Si cela vous intéresse, voici mes livres préférés sur le HPI et l’hypersensibilité.

Libérez votre potentiel artistique

Des études ont montré qu’une personne à haut potentiel utilise beaucoup plus l’hémisphère droit de son cerveau qu’une personne « normale ». Notre fonctionnement cognitif est différent. Les idées et les mots sont associés avec des concepts plus créatifs, comme des images, des couleurs ou des sons par exemple. Autrement dit, l’adulte zèbre va être plus créatif. Et cette créativité ne s’exprime pas forcément par du dessin, de la peinture ou une autre performance artistique. Cela peut être la construction de phrases par exemple. Moi, j’adore créer des systèmes de calculs automatiques (Excel est mon meilleur ami) et le business. C’est pourquoi, j’ai un classeur Excel pour à peu près tout : tout se calcule automatiquement, j’ai des statistiques sur chaque sujet, etc. Mon copain trouve ça étrange – voire bizarre et incompréhensible – mais moi j’adore analyser. Et plus que le résultat en lui-même, je crois que c’est la construction et la création de l’outil de calcul que je préfère.

Adulte surdoué création

À côté de ça, j’adore aussi le business et le monde de l’entreprise. J’ai donc crée une entreprise. Ce que j’ai préféré, c’était la création en elle-même : l’image, le nom, l’administration, le site, mes tableaux d’analyses, etc. La gestion pure au jour le jour, c’est moins mon truc. Aujourd’hui, je pense que j’aime l’idée du blog car cela me permet de créer un contenu que je n’avais encore jamais fait : le texte. Donc trouvez ce que vous aimez créer et sautez le pas !

Adulte zèbre : une vie sociale et amoureuse compliquée

Côté vie sociale, le HPI peut avoir quelques difficultés à se trouver un groupe d’amis car il n’a tout simplement pas les mêmes centres d’intérêts que beaucoup. De son point de vue, les autres peuvent être « fades », « plats » ou inintéressants. Seulement, le zèbre a un seul besoin profond : être aimé. Il se retrouve donc coincé entre son désintérêt pour les autres, et le fait qu’il a besoin de leur amour.

Côté amour, c’est tout aussi compliqué. Du fait de son hypersensibilité, l’adulte surdoué ressent tout plus fort. Et comme je l’ai dit, il n’a qu’un seul but : être aimé, coûte que coûte.

Trouver l’amour en étant hypersensible

L’hypersensibilité est une caractéristique principale chez les adultes à haut potentiel. L’idée, c’est qu’il va ressentir tout, en plus fort (trop fort ?), et sans arriver à faire le tri entre une information pertinente et une autre inutile. La lumière est vite trop puissante, le film trop triste, la musique de la voiture qui passe dans la rue tropforte, etc. Autrement dit, il absorbe tout, et il ressent tout. Il aime trop et à l’impression que l’autre ne l’aime pas assez. C’est vraiment compliqué à gérer. J’ai pendant longtemps cherché à bloquer cet afflux de sensations et de sentiments parce que je me sentais agressé en permanence. Je comprends maintenant que ce n’est pas du tout la bonne technique. Si vous êtes pris dans un torrent, il est inutile de chercher à le surmonter. Essayez plutôt de naviguer avec lui, vous irez plus loin. On appelle ça la régulation émotionnelle.

Revenons-en donc à l’amour. Trouver l’amour quand on est un adulte zèbre est compliqué. Il va très probablement avoir du mal à trouver quelqu’un avec qui il se sent bien, tout simplement parce qu’il va interpréter des micro-détails (auxquels seul lui prête attention) comme des preuves que la relation se termine. En fait, il va faire attention à tout. Et comme il ne cherche qu’à être aimé, il va s’auto-boycotter en cherchant des indices qui prouvent qu’il ne l’est pas (aimé). Oui, le zèbre est sadomasochiste.

Hier par exemple, j’ai voulu faire une surprise à mon copain en l’invitant dans un restaurant plutôt sympa. Au dernier moment, il a annulé et a préféré qu’on reste à la maison car il ne se sentait pas bien et était un peu malade. Il y a très certainement eu une seule petite seconde entre le moment où il m’a dit qu’il annulait, et le moment où il m’a donné la raison. Mais pendant cette seconde, je peux vous dire que j’ai vu toute notre relation se terminer. Ça y est, il ne m’aime plus. Ça y est, c’est fini. Fais tes bagages Paul. Évidemment, j’ai vite compris qu’il ne s’agissait pas de ça et j’ai pu me raisonner. Malgré tout, les sentiments de désespoir, de tristesse et de déception, eux, étaient bien là pendant une à deux heures. Il était persuadé que je faisais la gueule, alors que j’avais juste été au bout de ma vie pendant une seconde et que j’étais en train de m’en remettre. Super soirée.

Hypersensibilité amoureuse

Se faire des amis lorsque l’on est un adulte à haut potentiel

Un principe s’applique aussi bien aux relations amoureuses qu’aux relations amicales : l’adulte zèbre cherche à être aimé. Alors qu’en amour il cherche généralement à être lui-même, en amitié il a tendance à mettre en place une sorte de seconde personnalité protectrice : le faux-self.

Le faux-self

Le faux-self est donc une sorte de seconde personnalité. En fait, c’est comme une seconde version de soi – fausse – qui sert d’image publique. Le faux-self est parfaitement adapté aux carcans de la société. Il est sociable, s’intéresse aux mêmes sujets que ses collègues, rigole de tout, bref la personne parfaite. Sauf que ce faux-self a pour seul et unique but de protéger le vrai-self du monde extérieur. Le zèbre est trop différent des autres, donc il se fait une sorte de masque qui lui permet de s’intégrer au mieux – et donc de satisfaire son besoin d’être aimé. Alors oui, c’est vrai que beaucoup de personnes mettent un masque lorsqu’elles sont en groupe. Cependant, ici, la différence entre les deux personnalités (vrai et faux-self) est grande. Elles peuvent n’avoir que peu de choses en commun. C’est d’ailleurs ce faux-self qui empêche parfois de détecter les enfants intellectuellement précoces. Ils se fondent si bien dans la masse qu’on ne les voit pas.

Des difficultés peuvent arriver lorsque le vrai-self est resté enfoui pendant trop longtemps. En grandissant, je me suis entouré d’un groupe d’amis. C’était super sur le moment, j’étais toujours entouré et me sentais aimé. Cependant, je me rends compte maintenant que ce n’était qu’une façade. Je n’étais pas totalement moi. Si bien que, en déménageant et en étant un peu seul, j’ai mis beaucoup de temps à me retrouver. Je ne savais plus ce que j’aimais faire ou pourquoi je le faisais. Depuis plusieurs années, j’étais guidé par des mouvements de groupe que je cautionnais, alors qu’ils ne correspondaient pas du tout aux choix qu’auraient fait mon vrai-self. Mon faux-self avait pris le dessus pendant plusieurs années.

L’amitié quand on est zèbre

Après toutes ces explications sur le faux-self, il peut sembler compliqué d’imaginer qu’une amitié puisse avoir lieu avec un zèbre adulte. De plus, si on prend en considération les centres d’intérêts différents, cela n’aide pas. Néanmoins, je préfère nuancer un peu ces propos. En effet, ce n’est pas parce qu’une personne est amie avec notre faux-self que notre amitié est moins réelle. Mes amis étaient loin d’être au courant de tout ce qu’il se passait dans ma tête, et ce n’est pas pour autant que je ne considérais pas notre relation comme de l’amitié. À mon avis, il s’agissait plutôt d’un (très grand) jardin secret. Et puis, mes amis très proches sont au courant de ma douance, ce qui m’aide à me laisser aller sans pour autant me sentir rejeté.

Avec le temps, j’ai appris à différencier mon faux et vrai-self. Je pense que mettre en avant le faux me rassure beaucoup lors de premiers contacts, ou lors de relations plus « professionnelles ». Malgré tout, j’ai compris que surmonter ma peur du rejet pour laisser apparaître ce vrai-self, sensible, terrorisé et enfoui, n’apportait généralement que du bon.

Les adultes surdoués au travail

Maintenant, nous allons nous intéresser à l’épanouissement de l’adulte zèbre dans le milieu professionnel. Il s’agit là je pense du domaine dans lequel j’ai encore le plus de découvertes à faire. À vrai dire, je pense que c’est lié à la crise sanitaire du Covid-19 qui m’a mis au chômage partiel depuis mi-mars, et ce jusqu’à au moins fin 2020. Là, c’est sûr que j’ai le temps de réfléchir à ma vie professionnelle et de remettre les choses en question.

Comment trouver sa voie professionnelle avec un profil atypique ?

En tant qu’adulte surdoué, on peut avoir beaucoup de mal à se canaliser et à ne se focaliser que sur une seule mission. On s’ennuie rapidement. On a vite fait le tour du poste. Et donc maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? La même chose pendant des années ? Hors de question !

Trouver sa voie professionnelle est donc une angoisse permanente. Enfin, ce n’est pas la trouver qui est compliqué, mais c’est d’y rester. La grande curiosité de l’adulte zèbre lui permet de s’intéresser à beaucoup de domaines. Mais cette même curiosité le pousse à toujours en chercher (et à en trouver !) des nouveaux qui ont l’air très intéressants. Il ne trouvera, à mon avis, aucune voie professionnelle idéale. C’est pourquoi, le plus pertinent semble être de s’adapter à ces envies volatiles. Je recommande de s’orienter soit sur une activité professionnelle qui permet de varier les plaisirs, soit de mener une vie de slasheur.

Trouvez un poste avec des activités variées

Cherchez un job qui vous propose des missions très variées. Ainsi, vous serez moins susceptible de vous ennuyer ou d’en avoir fait le tour (ou alors, cela vous prendra plus de temps). Depuis quelques années maintenant, j’organise des événements en région parisienne. Et j’adore ça parce que je fais plein de choses différentes :

  • Le lieu de l’événement n’est jamais le même, avec les particularités techniques qui lui sont propres ;
  • Le client change ;
  • La restauration et les traiteurs sont différents ;
  • Les activités et autres éléments proposés sont adaptés à chaque prestation ;
  • Mon emploi du temps n’est pas fixe.

Pour le moment, je ne m’en lasse pas parce que je n’ai toujours pas la sensation d’en avoir fait le tour. Aucun projet n’est identique.

De plus, je recommande de privilégier une entreprise petite, à taille humaine. Elle vous permettra d’avoir une vision plus transversale des activités par rapport à une grosse multinationale où vous allez être fixés à votre poste avec des œillères. Il est en effet important pour un profil atypique d’avoir conscience de l’objectif global de sa mission. Sans vision générale, vous aurez l’impression que votre travail ne sert à rien et vous allez vous en dégoûter encore plus vite.

Le job parfait

Diversifiez vos activités

Je ne sais pas si le terme de « slasheur » existe vraiment. En tout cas, l’idée est d’exercer plusieurs activités en parallèle. Faites un job le lundi et mardi, un autre du mercredi au vendredi, et une activité associative le week-end par exemple. Le but encore une fois est de donner plein de stimuli différents à votre cerveau pour qu’il en redemande toujours un peu (et un peu de chaque !). Attention par contre : avec plusieurs emplois, vous allez par conséquent avoir plusieurs patrons. Le rapport à l’autorité est très particulier chez les adultes surdoués (c’est d’ailleurs le point suivant) et c’est la raison pour laquelle je recommande d’envisager l’auto-entrepreneuriat plutôt que le salariat.

À terme, j’aimerais vraiment m’orienter sur ce mode de vie que j’estime plus prometteur sur la durée. En effet, je pense me lasser de l’événementiel d’ici quelques années, et j’aimerais d’ici là avoir réussi à me trouver un plan B.

adulte zèbre : vie slash

Le rapport (compliqué) à l’autorité

Pour l’adulte zèbre, l’autorité se mérite et se gagne lentement, mais surtout elle a besoin d’être fondée. En fait, ce n’est pas parce que vous êtes un manager que vous méritez pour autant d’avoir une quelconque autorité. Ainsi, sans connaître les individus, l’opinion du grand patron de l’entreprise n’aura (aux yeux du surdoué) pas plus d’importance que celui de son collègue. L’adulte atypique va plutôt juger les idées individuellement et décider, de son propre chef, si elles sont bonnes ou non. Ainsi, ce n’est pas parce que l’idée vient du big boss que ça en fait une bonne idée et qu’il faut y obéir. Dis comme ça, ça semble plutôt clair : il n’obéira qu’aux idées qu’il trouve sensées et justes. Dans la vie par contre, cela peut être plus délicat d’expliquer à son manager que son idée ne mérite pas d’être appliquée parce qu’elle ne répond pas à notre critères de recherche de sens.

Durant mes deux années d’alternance, j’ai eu un manager dont je n’arrivais pas à respecter les ordres. Ses idées n’étaient – selon moi – pas les bonnes. Et mes cours (de niveau Master) avaient tendance à soutenir mes propos par rapport à ses idées (lui, il avait arrêté après sa licence). Ok je sais, c’est débile de s’arrêter à un niveau d’étude. Néanmoins, je n’arrivais pas à m’arrêter de penser que mon raisonnement était donc meilleur, plus juste et plus intelligent. Tout est allé beaucoup mieux lorsque je lui ai expliqué que j’avais besoin de comprendre les justifications derrière ce qu’il me disait. Un « parce que je te le demande » ne me suffisait pas. Ainsi, on a pu parler et débattre ensemble autour de nos idées et notre travail est devenu beaucoup plus productif ! À tour de rôle, nous nous sommes rendus compte que nos objections pouvaient être mauvaises, et donc tout le monde a progressé vers une voie plus optimale. La relation a basculé de manager/managé à collègues.

Conclusion

Alors, comment devenir un(e) adulte zèbre épanoui(e) ? Je pense tout d’abord qu’il est parfaitement faisable d’être épanoui(e) et heureux(se), même en étant surdoué(e). Jeanne Siaud-Facchin se demandait dans son livre si une personne à haut potentiel intellectuel était trop intelligente pour être heureuse. Nous conviendrons donc que c’est tout à fait possible, malgré de nombreuses sources d’échec.

Voici une liste de conseils pratiques que vous pouvez mettre en place dans votre quotidien et qui font suite aux différents points de ce post :

  • Cherchez toujours à apprendre quelque chose de nouveau. De nombreuses solutions existent pour cela, que ce soit avec des livres, des formations, des reportages, des vidéos… Trouvez le canal qui vous convient le mieux, et exploitez-le.
  • Laissez vagabonder votre âme créatrice. Prenez un créneau de 2 heures chaque semaines, et créez quelque chose. Faites ce que vous voulez : du dessin, de la couture, du bricolage, des tableaux Excel (ça, c’est moi !). L’important, c’est que vous fassiez quelque chose que vous aimez. Personnellement, ça me détend et ça permet à mon cerveau d’aller dans plein d’endroits différents.
  • Ne luttez pas contre vos sentiments : embrassez-les. Lorsque vous ressentez quelque chose de (trop) fort, demandez-vous si vous ne l’avez pas amplifié tout seul. Ressentez cette émotion (ne la refoulez surtout pas !), et essayez de maîtriser vos réactions.
  • Prenez du temps pour vous, pour vous retrouver. Dissociez autant que possible votre vrai et votre faux-self. Rendez-vous compte de leurs existences.
  • N’ayez pas peur de vous dévoiler complètement. Votre sensibilité est votre plus grande qualité.
  • N’essayez pas de trouver un job parfait. Cherchez plutôt un job qui vous permettra de ne pas vous ennuyer et qui répondra à votre besoin d’être stimulé(e). Envisagez un mode de vie de slasheur.
  • Prenez le temps de demander des justifications sur les ordres que vous recevez.
Comment être un adulte zèbre épanoui ?

Sources :

  • Siaud-Facchin J., Trop Intelligent pour être heureux ?, 2008
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Hello ! Moi, c’est Paul. Je sors de longues années d’études en commerce international qui m’ont amené à quelques années d’expérience en management et événementiel et à la création d’une société. Ce que j’aime le plus, c’est expérimenter et tester de nouvelles choses, comprendre ce qu’il se passe. J'ai donc toujours été très curieux, je lis et j'apprends beaucoup. Afin de vous faire partager ma passion pour le développement personnel, j'ai décidé de créer Connect The Dots (CTD). Bonne lecture !